19 septembre 2008
Stage Septembre 2008
- Présentation des stagiaires (on a joué la parité: deux femmes, deux hommes):
Marie-Laure , pour son deuxième stage Laurence (ici une petite mise en jambe avec une rosace en tilleul dont les creux sont doublés) Jean-François dit Jeff, doreur de son métier,
ayant appris son métier sur Paris, et le doyen Jean qui même s'il a passé les 80, reste très actif, façonnant des sculptures qu'il coule lui-même en bronze dans sa fonderie.
- Laurence frappe le pourtour de trois édelweiss sur une planche à découper (en noyer): on peut apprécier la précision du geste, la souplesse de ses poignets.
- Le Jeudi après-midi, il est de coutume de savourer un gâteau préparé par Mme Gilbert, de relâche le Jeudi matin, arrosé par une boisson pétillante....
- Le vendredi matin, on commente les rosaces de la veille, qui ont été passées à l'huile de lin ,ce qui leur donne un aspect mat et blond.
- Après avoir décalqué l'épi de blé sur une planche de noyer, on descend à la gouge de 4, dans le bois, pour lui donner son volume.En attendant les édelweiss de Laurence prennent forme.
- Pour ce stage on n'aura pas eu le temps de faire la petite fleur sur le carré, dont on a dégrossi le pourtour, tant pis, Jeff, tu la finiras à la maison!!
- Le noyer c'est plus dur; il n'y a qu'à voir la tension des mains.
La sculpture demande de bien canaliser son énergie pour contrôler et maîtriser les gestes: il faut éviter que les deux mains soient en opposition. Le plus dur à acquérir est de serrer fortement sa gouge dans une main sans perdre la souplesse des poignets.
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